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Foot - L1 - PSG : Clément touche le ballon

Le milieu parisien recruté à l'intersaison, Jérémy Clément, a effectué son premier entraînement avec le ballon vendredi, suite à sa lésion partielle de l'aponévrose plantaire.

Après sept semaines d'arrêt, j'ai des courbatures, a-t-il reconnu après la séance. J'ai de bonnes sensations, je vais faire encore une séance physique samedi et je verrai avec le staff médical si je peux jouer dimanche avec la réserve contre Rennes».

Les autres pros du groupe parisien auront un décrassage lundi matin, après avoir disputé le tournoi de futsal de Bercy la veille. - Ch. M. (au Camp des Loges)

Foot - L1 - PSG : Cayzac : « Paul va a l'essentiel »

Présent à la séance d'entraînement du groupe pro vendredi, le président du Paris Saint-Germain Alain Cayzac s'est entretenu avec son entraîneur, Paul le Guen. Les relations sont au beau fixe entre les deux hommes bien que la situation du club soit très difficile. Avant de quitter le Camp des Loges, le dirigeant parisien a confié ses sentiments qu'il «appréciait son autorité naturelle, simple».
«Il règne une bonne entente entre nous sur le double plan des relations professionnelles et amicales, a poursuivi le ''boss'' parisien. Paul n'est pas quelqu'un qui prononcera trois mots quand il faut en prononcer deux. Il va vite à l'essentiel, il analyse les choses, il est rigoureux. Il ne parle pas pour ne rien dire. En ce moment, je dois dire qu'on a du mal à parler d'autre chose que de la situation, mais sans se transmettre de stress. Ce qui peut nous sauver, c'est l'énergie pas le stress, il reste neuf matches...»

Foot - L1 - Paris-SG : Delanoë au Camp des Loges

Le premier magistrat de la ville de Paris, Bertrand Delanoë a rendu visite aux joueurs du Paris Saint-Germain vendredi matin. Le maire est arrivé sous la pluie fine au Camp des Loges, à Saint-Germain-en-Laye, à l'issue de l'entraînement. Bertrand Delanoë a voulu indiquer par sa présence tout son soutien dans un contexte difficile pour le club de la capitale, dix-neuvième de L1 et relégable.
«Il fallait que je sois avec mon équipe, a-t-il déclaré après cette rencontre amicale. J'aime tellement ce club, le foot à Paris en général, et le Paris-SG bien sûr. J'avais envie d'être avec les joueurs, avec Alain (Cayzac), avec Paul (Le Guen) pour leur témoigner ma confiance. Je dois être avec mon club quand il souffre. C'est un moment que j'ai choisi, pas par hasard. Il fallait que je vienne ici, au Camp des Loges, là où ça se passe. Je n'ai pas trouvé les joueurs abattus, plutôt contents que je vienne les voir aujourd'hui. J'ai senti de la concentration, j'ai trouvé des garçons lucides, ils ont des choses à se demander eux-mêmes. Quand on a des coups durs, il faut se dire clairement les choses. Je suis là pour partager les bons comme les mauvais moments».

Il «sera là» la saison prochaine, quoiqu'il arrive...
Le maire de Paris a parlé aux joueurs quelques minutes. Pedro Pauleta a apprécié. «Ça fait du bien que quelqu'un comme lui vienne nous voir ! Ça remonte le moral, on l'a écouté et ça prouve qu'on compte sur nous. Ça nous fera du bien pour nous en sortir». Avant de regagner la capitale, Bertrand Delanoë a pris un engagement devant Alain Cayzac. «Toutes mes soirées sont prises, vous vous en doutez, jusqu'au premier tour des élections mais le 21 avril, je serai au Parc pour soutenir le PSG (contre Nantes, 33e journée). La vielle du premier tour, il n'y a pas de meeting donc j'ai réservé ma soirée pour aller au Parc ! Je voudrais dire aussi que mon engagement personnel avec le PSG s'inscrit dans la durée, il n'est pas conditionnel. Je vous confirme que quelque soit l'avenir, je soutiendrai le PSG. Quand ma famille à des pépins, j'éprouve les difficultés de ma famille.»

Bertrand Delanoë eut enfin un mot à l'attention de Paul Le Guen. «L'arrivée de Paul est une excellente chose et, à ce que je sache, on n'a jamais vu les choses se faire en six semaines. Moi, je raisonne en terme d'aventure collective et dans l'hypothèse où le Paris-SG irait en Ligue 2, je serais là. Je parle du PSG avec des amis, certains de droite, et le PSG a une capacité d'affect très importante. Mais j'ai l'esprit de conquête et personnellement, je ne pense qu'au maintien du PSG»

Foot - L1 - Paris-SG : Traoré: «Pas encore morts»

Le défenseur du Paris SG, Sammy Traoré, s'est paradoxalement réjoui mercredi en estimant que si «tout le monde» voyait déjà les Parisiens «morts», autrement dit assurés d'une relégation en Ligue 2 la saison prochaine, les joueurs, eux, savent qu'ils ne le sont pas.
«Je pense que tout est possible. Cette pause internationale va permettre de bien travailler, de récupérer les joueurs blessés, et de bien préparer ce déplacement à Lens (le 1er avril à l'extérieur) qui s'annonce difficile», a estimé Traoré qui précise : «Je ne sais pas si elle (la trêve) vient au bon moment. On a à coeur de prendre des points, de se racheter le plus vite possible... C'est comme ça. On sait ce qui nous attend. Cela ne va pas être facile, mais on a un groupe de qualité, on tire tous dans le même sens»

Foot - L1 - Paris-SG : Chantôme :«Avec le coeur»

Clément Chantôme n'a pas repris l'entraînement aujourd'hui avec ses partenaires du Paris Saint-Germain. Le milieu de terrain parisien se trouve à Clairefontaine avec l'équipe de France Espoirs de René Girard pour préparer deux matches amicaux, contre le Danemark au Mans le 23 mars, et la Norvège à Tours, quatre jours plus tard. Dans un contexte délicat avec son club, il revient tout de même sur la situation de son équipe, 19e de L1.
«Clément Chantôme, les Espoirs, c'est une bouffée d'oxygène ?
Oui, ça permet de me ressourcer, de couper un peu avec le quotidien du club. C'est un grand plaisir de venir ici. On voit d'autres visages, que l'on connaît déjà pour certains. Cela fait aussi du bien de jouer des matches internationaux.

Cette coupure de quinze jours en Championnat peut-elle être bénéfique au Paris-SG compte tenu du contexte ?
Je dirais que ça peut être un bien comme un mal. Un bien parce qu'on peut recharger les batteries, se ressourcer en famille, avoir du temps parce qu'on a fait beaucoup de matches. D'un autre côté, cela peut avoir des effets négatifs si l'on se disperse trop. Il ne faut pas oublier l'unique objectif qui est de se maintenir en Ligue 1.

Comment avez-vous vécu la défaite à Rennes 1-0 ?
C'est dur à encaisser. Le coach avait mis en place une équipe pour obtenir un résultat et on perd. C'est vraiment dur d'autant qu'à la fin du match, le public rennais chantait : « Le PSG en ligue 2 ». On garde espoir.

Mais cet espoir ne s'amenuise t-il pas au fil des défaites ?
On a envie de se sauver. Je ne vois pas la Ligue 1 sans le Paris-SG. Je pense que les onze titulaires ont tous la volonté de s'en sortir mais on ne joue pas tous en même temps, c'est ça le problème. Moi, je crois qu'on a la volonté de rester en Ligue 1. On doit jouer ensemble, avec le coeur.

Cela sera-t-il suffisant pour faire la différence ?
Oui la volonté et le coeur feront la différence. Si on ne gagne pas nos matches à domicile, il faudra aller chercher les victoires à l'extérieur et cela risque de se compliquer pour nous. Prendre des points chez nous, c'est impératif si nous voulons nous en sortir. Il faut que l'on se sorte de cette situation, pour le club, le public, et les supporters qui sont là.

Vous faites partie des plus jeunes de l'équipe avec Mulumbu, Mabiala, N'Gog et d'autres. Ressentez-vous une responsabilité particulière pesant sur vos épaules ?
Non pas trop. Le coach compte sur nous, on joue en ce moment parce que certains sont blessés ou par choix du coach. La situation implique tout le monde donc je ne suis pas plus ou moins responsable que les autres.»

Foot - L1 - PSG : Kalou : «On a touché le fond»

Pour un Sammy Traoré plutôt bienveillant envers la production du Paris-SG à Rennes - «Ils marquent alors qu'ils ont moins d'occasions, on a démontré quand même de belles choses» -, pour un Paul Le Guen conscient que les têtes en ont pris un coup avec cette nouvelle défaite 1-0 - «On va essayer de récupérer psychologiquement, car on va de déception en déception» - c'est l'Ivoirien Bonaventure Kalou qui a tenu le discours le plus alarmiste stade de la Route-de-Lorient. Il constate que son équie «a touché le fond» et ne semble pas parvenir à hisser son niveau malgré l'urgence de la situation. Il se raccroche à la cohésion du groupe, sans quoi ce sera «mission imposible
« Bonaventure Kalou, que le Paris-SG joue mal ou mieux, la défaite, la quatrième consécutive en L1 sans marquer le moindre but, est toujours au bout. Quel constat faites-vous à nes événements négatifs s'enchaînent. Le positif appelle le positif, le négatif aussi. Et nous nous sommes dans une spirale très négative. Qu'est ce qu'on a à craindre? Plus grand chose. On a presque touché le fond. Non : on a touché le fond. On sait tous que si on baisse la tête, c'est mission impossible. On doit regarder les adversaires en face. Personne ne va nous relever la tête. Tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir.

Contre Rennes, vous n'avez jamais semblé en mesure d'inverser la tendance. Une nouvelle fois serait-on tenté de dire...
On a fait un match correct mais la réussite nous fuit. C'est surtout mentalement que c'est dur car on a l'impression que tout est contre nous, la chance, l'arbitrage... Je pense que si M'Bia avait pris un carton, il aurait ensuite levé le pied. La trêve arrive. Elle tombe très bien car ça devient éprouvant pour tous. On va essayer de penser à autre chose et de revenir plus forts.

Au delà des mots, qu'est-ce qui pourrait améliorer le niveau de performance sur le terrain ?
Il ne faut pas se désunir. Bien sûr c'est un discours qui sonne un peu creux car on n'y arrive pas. Il faut continuer et faire le dos rond car ça va finir par payer. Il n'y a qu'entre nous qu'on peut s'en sortir. Si on continue avec cet état d'esprit, on va s'en sortir. Pour ne pas sombrer, il faudra rester très forts».

Foot - L1- PSG : Avec Chantôme et Mulumbu

Si le Stade Rennais tient la corde dans ses confrontations directes en Ligue 1 au Stade de la Route de Lorient, le Paris-SG reste dans l'obligation de ramener un bon résultat dimanche (21h00, 29e journée de L1). Une mission délicate pour l'entraîneur, Paul Le Guen, qui devra faire sans Edouard Cissé qui n'a pas fait le déplacement à Lisbonne jeudi en Coupe de l'UEFA (défaite 3-1) en raison de douleurs aux adducteurs.
L'ancien entraîneur de... Rennes (1998 à 2001) devra également se passer des services de Jérôme Rothen, suspendu. Du coup, les jeunes prendront du service. Ce sera probablement le cas de Clément Chantôme et de Youssouf Mulumbu au milieu du terrain, la première de Jérémy Clément n'étant pas envisageable avant début avril. Les Parisiens, qui sont restés vendredi du côté de Lisbonne, ont rejoint la Bretagne en fin de matinée samedi. Ils ont suivi un entraînement acclamé par une centaine de jeunes Bretons, alors que la séance devait avoir lieu à huis clos.

Deux joueurs ont été laissés à la disposition de l'équipe réserve et auront regagné la région parisienne samedi : Larrys Mabiala et Albert Banning. Le premier avait été titularisé à droite de la défense, jeudi à Lisbonne.

L'équipe probable : Landreau - B. Mendy, Rozehnal, S. Traoré, Armand - Chantôme, Mulumbu - Frau ou Diané, Luyindula ou Kalou, Gallardo - Pauleta

Foot - L1 - Rennes : Sans grand changement

Rennes souhaite renouer avec la victoire qui fuit les Bretons depuis trois matches. Pas évident face au Paris-SG, dimanche (21h00, 29e journée), avant-dernier du classement et qui joue sa survie en L1.

Le groupe rennais devrait enregistrer le retour de Marveaux remis d'une déchirure. Borne, sélectionné en 19 ans, est également opérationnel. En revanche, Moreira et Didot sont toujours forfaits et devraient revenir début avril, alors que Jeunechamp, blessé de longue date, a repris le travail collectif. Il sera encore trop juste pour jouer dimanche. Les Rennais ont fait jeudi une opposition à 10 contre 10 pour préparer la venue du club de la capitale. Pierre Dréossi ne devrait pas apporter trop de changements par rapport à l'équipe qui a ramené le nul de Nice (1-1) le week-end dernier.

L'équipe probable : Pouplin - Melchiot, Faty, Mensah, Edman - Sorlin, Mbia, Br. Cheyrou, Thomert - Utaka, Briand

Foot - L1 - Paris-SG : Le sondage qui inquiète

Encore sous le choc de leur élimination de la Coupe de l'UEFA, jeudi face au Benfica Lisbonne, les joueurs du Paris-SG, qui ont séjourné vendredi dans un cinq étoiles d'une station balnéaire portugaise, vont apprendre samedi à leur arrivée à Rennes (29e journée de L1), que près d'un Français sur deux les imagine en Ligue 2.

Selon un sondage réalisé par l'institut CSA paru samedi dans le quotidien Le Parisien-Aujourd'hui en France, 43% des Français sont effet persuadés que le club de la capitale va descendre à l'étage inférieur. Ils ne sont, en revanche, que 21% à penser que le club de la capitale va assurer son maintien (13% «probablement», 8% «certainement») et 15% à être persuadés d'une relégation assurée. Ce sondage a été réalisé par téléphone, le 14 mars dernier, auprès d'un échantillon national représentatif de 1003 personnes âgées de 18 ans et plus. Il comporte cependant une forte proportion de sans-opinion (36%), sans doute logique, car établi au niveau national selon la méthode des quotas après stratification par région et par catégorie d'agglomération.

David Ginola : «Une descente peut être profitable»
C'est tout de même en région parisienne que l'avenir du Paris-SG inquiète le plus. 47 % d'entre eux sont plus soucieux que la moyenne nationale et pensent que Pauleta et consorts ne s'en sortiront pas et seront relégués. Même chez l'ennemi juré, du côté de Marseille et ses environs, le chiffre n'atteint pas cette angoissante proportion (41 %). Originaire de Sainte-Maxime, dans le Var, et figure emblématique du club parisien de 1992 à 1995, David Ginola sait que la "mission sauvetage" s'annonce difficile : «Les joueurs ne s'identifient plus au club. Dès qu'ils ne jouent plus, ils demandent à partir. Lorsque j'étais à Paris, ceux qui ne jouaient pas se battaient comme des chiffonniers aux entraînements pour retrouver leur place. Quand on embrassait le maillot, çà voulait dire quelque chose. Descendre en L2 peut permettre de repartir sur des bases saines,

Alors alex content t'a vu je t'ai pas oublier

oui merci bocoup luis

eh de rien je fait seulement mon boulot de journaliste

ok ok